Il m’a fait faire la pute

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il y a 6 ans

Il m’a fait faire la pute

Voilà quelques semaines que je connais Julien. Nous nous sommes rencontrés dans un sauna, plus précisément dans les vestiaires d’un sauna, en nous rhabillant. Je n’avais pas spécialement flashé sur lui initialement dans les vapeurs des cabines, mais quand je l’ai vu enfiler son pantalon en cuir, je n’ai pu retenir un coup d’œil appuyé sur lui.

Physiquement, il ressemble à ce que je qualifierais à quelqu’un de « normal », genre 1m75 pour 60-65kg, la trentaine, blanc. De ce point de vue nous avons à peu près la même silhouette. Par contre il portait superbement bien son fut cuir. J’avoue ne pas en porter moi-même, peut-être par appréhension. Il n’empêche qu’un mec en cuir me fait toujours de l’effet.

Quoi qu’il en soit, Julien avait remarqué mon regard appuyé sur son fut cuir dans le vestiaire du sauna. Il s’est approché de moi et a engagé la discussion. Nous avons plaisanté sur deux-trois sujets, puis il a embrayé sur son côté cuir. Lui comme moi avions fait choux blanc ce soir là, il m’a alors proposé de venir chez lui.

Nous étions physiquement proche l’un de l’autre quand je lui ai répondu. Il a sourit et m’a subtilement poussé contre les casiers des vestiaires. Je me suis trouvé légèrement pris au piège entre lui et la paroi. Il m’a embrassé. Quelques secondes plus tard j’ai compris que cette attention spontanée de sa part était calculée et loin d’être innocente. Il a pris mes poignets dans ses mains, puis, je ne saurais dire comment, j’ai senti un contact métallique.

J’ai dû marquer un mouvement de recul lié à mon étonnement. Il a alors fait un pas en arrière, et de nouveau a souri. Le métal était celui de menottes. Julien m’a dit que les clefs étaient chez lui et qu’il était donc nécessaire que je le suive, lui en cuir, moi menotté, en ville, jusqu’à son appart. Sur le chemin, quelques personnes nous dévisageaient.

Voilà le contexte de notre rencontre.

Nous nous revoyons en général le week-end. Je travaille dans l’agence d’une boite d’intérim et je finis régulièrement tard, tout comme Julien. Il nous est donc difficile de nous voir en semaine.

Ce samedi, nous sommes sortis au théâtre. Nous aimons bien de temps en temps nous faire une soirée tranquille. À la fin de la représentation, nous filons au restaurant pour un dîner simple dans une pizzeria. Nous terminons le repas vers 22h30. Nous sommes venus en voiture car les transports en commun sont rares dans notre ville à cette heure. Julien prend le volant et roule en direction de chez moi.

Sur la route du retour, au bout d’un quart d’heure, Julien quitte le chemin habituel.

— Tu te trompes, il aurait fallu tourner de l’autre côté. Lui dis-je.

— Rassures-toi, c’est bien cette direction que je veux prendre, me répond-il.

Nous roulons en direction de la banlieue. Les maisons prennent la place des immeubles. Nous avançons. Les maisons s’espacent de plus en plus. Il ralenti. La voiture s’arrête sur le bas côté. Le lotissement que nous avons dépassé est encore visible derrière nous à environ un kilomètre. La pleine lune éclaire les champs autour de nous. Nous sommes en lisière d’un bois, les arbres sont assez clairsemés. Quelques buissons remplissent l’espace libre, sans être un maquis inextricable. En ce printemps l’air est plutôt doux. De temps en temps une petite brise passe entre les feuilles.

— C’est ici que nous descendons.

Je défais ma ceinture de sécurité et ouvre la portière. Julien est également dehors et m’attend au niveau de l’arrière du véhicule. Il ouvre alors le coffre.

— Le programme est simple. Tu commences par te mettre à poil, me dit-il.

Je m’exécute. Pendant ce temps il récupère quelques affaires dans le coffre. Je ne vois pas de quoi il s’agit précisément, occupé que je suis à enlever mes chaussures et mon pantalon. Il ramasse mes affaires que j’ai déjà enlevé : blouson, t-shirt, chaussures et maintenant pantalon.

— Tu peux remettre tes chaussettes.

Il me tend un pantalon et un t-shirt, tout deux en cuir, noirs. Autant que je peux en juger au clair de lune, le pantalon est assez simple. Le cuir légèrement épais, certainement de la vachette, plus résistant que de l’agneau. La braguette est elle aussi d’une simplicité déconcertante : il s’agit d’un zip intégral avant/arrière, d’un éclat métallique bien visible. Le t-shirt est un peu plus élaboré : col en V, lacé au niveau de la pointe du col, sur deux rangées. J’enfile le fut (sans slibard donc) et le t-shirt.

Il est 23h00. Sur la départementale une voiture passe rapidement. Je ne pense pas qu’il nous ait vus, notre voiture faisant écran.

Julien a prévu son coup, le pantalon est parfaitement ajusté. Moulant juste ce qu’il faut, idem pour le t-shirt. Il me présente alors une paire de rangers, que j’enfile aussitôt. Je m’adresse à lui :

— Je n’imaginais pas que tu avais prévu de continuer la soirée comme ça. C’est une surprise pour le moins excitante.

— Oh, la surprise n’a pas encore commencé, me lance-t-il.

En me disant ça, il me tend un flacon de gel et deux boites de capotes, puis me dit : « La surprise commence maintenant ». Il continue :

— Tu sais où nous sommes. Le village est à quinze-vingt minutes de marche d’ici. Le premier bus qui passe demain, dimanche, est à 9h10. Cette route est connue comme coin gay. Ton boulot est de me ramener trois cents euros, histoire de me payer de ton fut et t-shirt cuir. Je te laisse fixer tes tarifs de prestations. Tu payeras ton ticket de bus avec le fric que tu te seras fait. Je conserve les clefs de ton appart. On se retrouve demain matin chez moi.

Je suis abasourdi, et ne bouge plus. Julien remonte dans la voiture et part. Je vois les feux arrières s’éloigner et je reste penaud.

Oui, penaud et je commence à prendre conscience de ma situation. Seul en pleine nuit, en tenue cuir sans équivoque, le flacon dans la main droite, les boites dans la gauche. Seul au bord de la route. Une légère brise passe comme un souffle. La braguette n’est pas étanche, au travers je sens sur ma queue un peu de vent. En l’absence de sous-vêtement, je sens également sur mon sexe le métal rugueux du zip.

Dans le passé, mes rapports se déroulaient soit chez moi, soit chez mon partenaire, ou éventuellement en boite ou sauna. Des choses tout à fait « classiques », en milieu gay ou chez nous, dans un lit.

Pour la première fois je me trouve entièrement vêtu de cuir, en extérieur, à devoir me faire des mecs à la chaîne. Pour couronner le tout, je suis contraint à un plan exhib qui me noue le ventre d’avance : prendre le bus demain matin en pantalon cuir avec zip intégral… je n’ose pas m’imaginer la scène.

Je suis stressé et furieux, en même temps je suis incapable d’en vouloir à Julien. L’expérience que je vis est désagréable mais terriblement excitante. La suite est totalement inconnue pour moi, comment ferais-je si personne ne vient ?

Je n’ai pas le temps de prolonger mes rêveries. La voiture qui est passée tout à l’heure revient dans ma direction. Elle ralentit et stoppe trois mètres devant moi. Les phares m’éblouissent, je ne vois pas le conducteur. Lui, par contre, me matte. Stéréotype ou pas, la vitre électrique se baisse, une voix masculine s’adresse à moi :

— Tu prends combien pour sodo et pipe ?

Je bafouille, n’ayant pas eu le temps de réfléchir à cet aspect très matériel du sujet. Je sors un chiffre au hasard :

— Vingt euros ?

Éclats de rire du chauffeur. Il me répond :

— Tu débutes manifestement. Pour ça, en général, c’est plutôt soixante dix. Je suppose donc que tu es d’accord ? dit-il en rigolant.

J’arrive à répondre un bête « Euh, oui ».

— Parfait, partons. Ça te dirai une petite prime, disons… Il réfléchit. Disons que je double la mise, soit cent quarante, que j’arrondi à cent cinquante ?

— Oui, bien sur, c’est très gentil à vous.

— Enfin, pour la prime, il faudra que tu fasses un peu plus que de me proposer ton cul et ta bouche. C’est d’accord ?

— Eh bien, quoi en plus ?

— J’ai des menottes dans la boite à gants, je te les enfilerai bien.

— Bon, très bien.

Je dois paraître un peu gauche, planté là, sans bouger. Mon premier client, puisqu’il s’agit de ça, semble par contre très au fait des us et coutumes du lieu. Il gare sa voiture dix mètres plus loin, éteint les phares. J’entends la portière s’ouvrir, puis le vois s’approcher au clair de lune. J’en profite pour prendre deux préservatifs dans une des boites. Je tente de cacher ensuite les deux boites dans le bas-côté de la route.

Alors que j’angoisse de ma tenue exhib, le mec qui s’approche est totalement décomplexé. Le fait d’être en voiture doit le désinhiber de tous ses fantasmes. Ses bottes remontent jusqu’aux genoux. Il porte un chaps moulant qui rentre dans les bottes. Son sexe est enveloppé par un string ou slip cuir, je ne sais pas trop. Son torse est ceinturé par un harnais. Il tient dans ses mains des chaines et certainement les menottes.

Je ne peux pas distinguer son visage, une cagoule en cuir -ou latex- m’en empêche. Il arrive à ma hauteur et me présente la chaine. Il s’agit en fait d’une laisse. Je suis sur le point de protester quand il m’interrompe :

— Tais-toi et mets ça.

Je m’exécute. Il passe derrière moi et raccourcit la chaine au niveau du cou. Il me prend ensuite un bras, puis l’autre. Je sens les menottes à mes poignets. Contre toute attente je commence à avoir une érection. La braguette métallique, rugueuse, me rappelle inopportunément sa présence. Mon client repasse devant moi et porte une main au niveau de mon sexe, il semble satisfait. De l’autre main il saisit la laisse et m’entraine dans le bois.

Nous marchons une centaine de mètres dans une relative obscurité. Il a une petite lampe led pour éclairer le chemin. Il nous arrête au pied d’un arbre, type bouleau, tronc lisse et droit.

— Maintenant il est temps de te mettre au travail, me dit-il.

Il enroule la chaîne au pied du tronc en me tirant le cou vers le bas. Mécaniquement, je m’accroupis.

— Relève ton cul et file-moi des capotes.

J’ouvre ma main dans le dos, il se sert.

— T’as oublié de prendre du gel. J’espère que tu es bien ouvert.

— Non, je l’ai laissé dans le bas-côté où j’attendais. Vous pouvez aller le chercher.

— C’est bête pour toi. Tu va devoir faire un effort.

Je commence à protester lorsqu’il m’envoie une grosse claque derrière la tête.

— Non, mais t’es malade.

— Ta gueule. Et de me renvoyer de nouveau une claque.

— On n’a pas convenu que…

Je n’ai pas le temps de terminer ma phrase une fois de plus, une claque, puis :

— Tu obéis. Donc tu fermes ta gueule. Je te rappelle que tu peux brailler autant que tu veux, et à part quelques oiseaux, personne ne t’entendra. Par exemple, tourne la tête. Tu vois la branche là-bas ? Bien. Tu vas la sentir.

Il se dirige vers un morceau de bois qui traîne par terre. Il y a quelques ramifications, des brindilles qui en partent. Il les arrache, quoiqu’imparfaitement, de telle sorte qu’il reste quelques bouts de bois sur les départs des ramifications. Il revient vers moi. Instinctivement je tente de reculer, retenu par ma laisse, si bien que finalement je tourne autour du tronc.

— Cesse de tourner, tu m’énerves et aggraves ton cas.

Il me prend de nouveau par le cou, et remonte la chaine et serre fort. J’ai le tronc d’arbre en plein visage. Il se dirige derrière moi, et étrangement, m’enlève les menottes. Plus précisément une des menottes. Je comprends pourquoi : il me fait encercler l’arbre avec les bras et referme la menotte. Je suis très inquiet : attaché à l’arbre, debout.

— Que comptes-tu faire ?

— Moi, je ne compte rien. C’est toi qui compte, jusqu’à cinquante.

En disant cela, il ouvre mon zip intégral et baisse mon fut. Je n’ai pas le temps de me préparer qu’il commence à me frapper avec la branche. Il enchaine les coups :

— A ta place, je compterais. Je ne sais pas où j’en suis et je n’ai pas prévu de m’arrêter avant cinquante.

Les coups répétés commencent à être douloureux. Je compte en étouffant des gémissements à chaque frappe. Il prend plaisir à me voir souffrir et poursuit sans mollir. Au bout de trente, je le supplie d’arrêter, j’en pleure et me tortille face à ce tronc pour éviter chaque contact avec la branche.

— J’ai dit cinquante, et je veux t’entendre crier. Mais crier de douleur, pas pour jouer la comédie dans un plan SM. Et tu peux y aller, encore une fois, personne ne t’entendra.

Il reprend ses coups. À mon insu, et pour le plaisir de mon client, je crie au bout d’une quarantaine de coups. Plus que dix à tenir. Chaque contact du bois sur mes fesses me brûle la peau. Probablement que les nœuds de la branche au niveau des ramifications accentuent la douleur. Le dernier coup arrive enfin, salvateur.

Par pur sadisme, mon client me donne un nouveau coup alors que je ne m’y attendais plus. J’échappe un cri dans un s a n g lot. Il s’adresse à moi :

— C’est bien mon petit. Tu vois, quand tu veux. J’espère maintenant que tu es plus disposé à m’écouter et surtout m’obéir.

En me disant ça, il baisse sa tête au niveau de mes fesses et me lèche la peau. Ça me fait un bien énorme. Il masse également ma chair. Sa langue et sa cagoule de cuir ont un effet apaisant. Il continue ainsi quelques minutes.

— Il faut reprendre où nous nous étions arrêté tout à l’heure.

Il remonte alors mon pantalon qui était sur les chevilles, puis me remet les menottes dans le dos. Il dénoue la chaine pour la remettre au pied de l’arbre. Sans broncher je m’incline en gardant les jambes droites et mon cul accessible, d’autant plus accessible que le zip est ouvert.

Il pose son gland sur mon anus et joue un peu dans ma raie. Au bout de quelques mouvements, il passe un peu plus sur ma rondelle et appuie de plus en plus fermement. Je dois intégrer de plus en plus ma condition de prostitué, puisque je me détends pour lui faciliter l’accès. Je n’ai pas vérifié s’il a mis une capote. Je suppose que c’est le cas, c’est dangereux mais n’ose pas, ou ne veux pas, le lui demander.

Ses pénétrations sont douloureuses, je sers les dents pour ne pas crier. Il me lime sans précaution. Les mouvements de reins sont brutaux, certains particulièrement secs me poussent et me cognent la tête contre le tronc d’arbre.

De nouveau ce mec en chaps, cagoulé en cuir prend un plaisir manifeste à me casser. Je suis son objet qu’il brutalise à volonté. Je ne peux plus, une fois de plus, m’empêcher de pleurer et crier. Chaque pénétration est un sacerdoce : souffrir pour lui faire plaisir.

Sans raison, il s’arrête, alors que je ne pense pas qu’il ait été sur le point de jouir. Que va-t-il faire ?

Il détache mes menottes et me demande de les remettre devant. J’obtempère sans poser de questions. Il m’ôte ensuite ma laisse. Pourquoi ce changement ? Je me tourne, debout, face à lui.

— Met toi à genoux.

Son sexe, qui est bien protégé par une capote, se dresse devant moi, au niveau de mon visage depuis que je viens de m’agenouiller. L’odeur qui s’en dégage est celle d’un sexe sale, à l’évidence non lavé depuis quelques jours, mêlé à des e x c r é m e n t s, les miens en l’occurrence suite à ma sodo.

— Suce.

Les quelques fellations que j’ai déjà pratiqué, encore une fois, étaient entre deux hommes dans un environnement intime, propre, sensuel. A la vue de son pénis, tout mon corps refuse de le prendre en bouche dans un sentiment de dégoût. Je me souviens encore de ses coups, mes fesses me font mal, mon anus est en feu, je n’ai plus la f o r c e de me retenir et me fait dessus.

J’avance ma bouche, quelques grimaces de répulsions déforment mon visage. Qu’importe, je commence mon va et vient, lui lèche les testicules également. Il gémit de plus en plus de plaisir, je passe la langue sur le prépuce, en prenant un peu de matière fécale au passage. Je sens qu’il est sur le point d’éjaculer.

Encore une fois, il se retire. Enlève la capote. Et fini le travail à la main. J’en prends plein le visage. Un souffle de vent passe à ce moment dans le sous bois. Mon visage reçoit une douce caresse légère de vent frais et de liquide tiède.

— Relève-toi et suis-moi.

Il prend la direction de la voiture. Je marche menotté, la bitte et le cul à l’air par l’ouverture intégrale de mon fut cuir. Une goutte de sperme tombe de ma joue du fait de l’impulsion donnée par la marche. Je me sens souillé, crade, v i o l é, meurtri, et surtout fatigué. Nous arrivons au niveau de son coffre.

Il m’enlève les menottes, s’approche, toujours cagoulé et m’embrasse. Sa langue pénètre dans ma bouche, doucement il l’enroule autour de la mienne. Une sensation de douceur et de plaisir m’envahie. Il recule.

— Je t’avais promis cent cinquante euros.

J’en avais oublié la raison de ce plan.

— Oui, c’est cela. Cent cinquante.

— Tiens, voilà trois cents. Tu les as bien mérités.

J’en ai le souffle coupé. Que dire de plus ? Bêtement, en levant la tête, j’aperçois la lune. Quelle heure est-il. Je réussi à le lui demander :

— Avez-vous l’heure ?

— Oui, il est 2 heures du matin.

Il me tourne le dos, je vois son cul dans son slip cuir, son harnais et sa cagoule. Il rentre dans sa voiture. Et fini par partir comme il est venu. Me voici avec trois cents euros en main. Il est deux heures et demie du matin. Que vais-je faire jusqu’au premier bus ? Dans un premier temps, je me « rhabille » en remontant mon zip intégral. Ensuite, je mets mes billets durement gagnés dans une des boites à capotes. Je reprends deux préservatifs au passage et cache les boites entre les racines d’un arbre à proximité. On ne sait jamais.

Je m’essuie le sperme sur mon visage avec une grosse feuille verte prise d’un buisson à côté. La nuit s’annonce longue.

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